Reclassement professionnel : comment peut-on faire mieux ?
Communiqué de presse – Juin 2010
67 % des personnes suivies par Transition RH retrouvent un CDI ou CDD de plus de six mois, contre 47 % dans les antennes d’emploi
Alors que les chiffres nationaux du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) révèlent que seuls « 47% des adhérents à des antennes d’emploi retrouvent, à la sortie de la cellule de reclassement, un CDI ou un CDD de plus de 6 mois », Transition RH, réseau de 10 spécialistes répartis sur toute la France afin de répondre aussi bien aux besoins spécifiques de grands comptes qu’à ceux de PME régionales, obtient des résultats bien plus importants. Grâce à des méthodes personnalisées et à un suivi individualisé, 67 % des personnes prises en charge ont retrouvé durablement le chemin de l’entreprise. Revue de détails d’une recette qui porte ses fruits.
Un taux d’efficacité record : 40 % plus élevé que la moyenne nationale
Grâce à son réseau de consultants, 67 % des personnes inscrites en cellule de reclassement au sein d’une des antennes de Transition RH a retrouvé une activité salariée en CDI ou CDD de plus de 6 mois. Il y a quelques semaines, le rapport du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), pointait le fait que seuls « 47% des adhérents à des antennes d’emploi retrouvent, à la sortie de la cellule de reclassement, un CDI ou un CDD de plus de 6 mois ». Soit, un écart de l’ordre de 40% avec les résultats obtenus par les 10 agences Transition RH.
Efficacité qui passe à 87% dès que l’objectif de la cellule de reclassement est d’atteindre une solution identifiée et ciblée par le salarié : CDI, CDD de plus de six mois, formation pour changer d’orientation professionnelle, solutions personnelles… Une valeur ajoutée et un point de différenciation notable sur le marché du conseil, de l’accompagnement et du reclassement de personnel.
L’humain, clé de la réussite
Alors qu’au sein des services de Pole Emploi les conseillers ont officiellement à gérer jusqu’à 80 dossiers, les consultants de Transition RH ont délibérément fait le choix de ne suivre qu’un maximum de 30 dossiers chacun pour garantir une prise en charge efficace et surtout instaurer une relation de confiance avec l’interlocuteur.
Autre atout : les consultants de Transition RH viennent, pour leur grande majorité, du monde de l’entreprise, qu’il s’agisse des psychologues du travail, des spécialistes de l’orientation professionnelle ou encore des chefs de projets, anciens DRH de grands groupes.
De l’évaluation des compétences à la définition de solutions personnalisées, la démarche de suivi est proposée pour un minimum de 6 mois et nécessite une forte implication de tous les protagonistes pour assurer durablement le retour à l’emploi. Cette méthode, misant sur la qualité du service plus que sur la quantité des dossiers traités, porte à 90,8 % le taux de satisfaction des personnes ayant été suivies par Transition RH. En comparaison, le taux de satisfaction national n’est que d’un adhérent sur deux.
Méthode validée et appliquée par les 10 partenaires
Fruit de l’expérience et des échanges entre les consultants, la méthode d’accompagnement de reclassement Transition RH, éprouvée et validée, est appliquée par tous les consultants pour offrir une qualité de service continue, mais aussi une prestation identique aux entreprises multi-sites.
La totalité des personnes prises en charge bénéficient d’un bilan professionnel et personnel aboutissant automatiquement à l’élaboration d’un projet professionnel. Ce formalisme est indispensable, car il permet de valider la faisabilité d’une future orientation professionnelle : il n’est pas rare que les personnes arrivant en cellule de reclassement avec une idée de projet en sortent avec un tout autre projet. A elle seule, cette méthode explique également l’écart de taux de reclassement. Dans son étude, le CESE constate que parmi les personnes interrogées « 63 % déclare ne pas avoir effectué de bilan professionnel et 82 % ne pas avoir élaboré de projet professionnel » selon le rapport national du CESE.
Rémunération du cabinet indexée sur la qualité du reclassement
Sur un « marché » où les tarifs varient de 1600 à plus de 5000 € pour une antenne emploi de 6 mois, le coût de cet accompagnement sur mesure est de l’ordre de 2700 €, sachant que près de la moitié de ces honoraires sont directement indexés aux résultats.
« Nous avons fait le choix de parier sur la qualité et la réussite du reclassement des salariés que nous suivons, précise Denis Lacour, fondateur et animateur de Transition RH. Il n’est pas question non plus pour nous de reclasser coûte que coûte les personnes que nous suivons, pour obtenir de bons chiffres. Pour nous en prémunir, un contrôle qualité de nos prestations, impliquant l’entreprise, la commission de suivi et les salariés accompagnés, est réalisé. Les résultats de ces contrôles qualité sont un des éléments de notre rémunération ».
Une démarche perçue chez Transition RH comme « la base incontournable d’un retour rapide et efficace à l’emploi ».
A propos de Transition RH
Initié en 1997, Transition RH, réseau de 10 spécialistes basés en Alsace, Aquitaine, Ile de France, Languedoc, Midi Pyrénées, Normandie, PACA, Pays de la Loire et Rhône-Alpes regroupe plus de 40 collaborateurs spécialisés dans l’accompagnement des entreprises en restructuration.
En 13 ans, tous secteurs confondus, près de 2000 salariés provenant de 70 entreprises ont pu bénéficier de l’expertise de Transition RH, qui s’appuie sur son réseau national de 10 spécialistes pour actionner puissance d’intervention, flexibilité et connaissance des différents bassins d’emplois locaux. La demande des entreprises en accompagnement de reclassement de collaborateurs devenant de plus en plus multi-sites (48% des missions de 2005 à 2009 contre 19% de 2000 à 2004), le réseau Transition RH s’est attaché à formaliser une méthode de reclassement appliquée de façon identique par tous les collaborateurs sur tout le territoire français.